Samedi 24 novembre 2012 à 19:38

Mais que se passe-t-il sur ce blog ?

Bon, je cumule un peu les projets en ce moment, sans compter qu'il y a les études !

En fait, ce blog est un peu à l'abandon depuis que je m'occupe de celui-ci :

L'Apprenti - BD

Je vous invite donc (pour les quelques visiteurs qui passeraient encore pas ici) à y faire un tour ! Celui-là, au moins, sera mis à jour toutes les semaines !

Bon, allez, je retourne à mes occupations !

Bye !

Mardi 29 mai 2012 à 17:00

Sous terre, il fait chaud, et c'est sale...

http://miss-wuasy.cowblog.fr/images/chromapolisdessin1.jpg

Vendredi 25 mai 2012 à 17:00

N'étant pas satisfaite de l'ombre et de la lumière dans ce dessin, je pense que je le referai... quand j'aurai le temps...

http://miss-wuasy.cowblog.fr/images/grotte.jpg

Mardi 22 mai 2012 à 17:00

-Je vous ai vus, c'est vous qui avez fait exploser la charrette !
-Et alors ?
-Et alors, emmenez-moi avec vous, sinon je vous balance aux autorités !
-Oh non, on la prend pas, c'est une elfe...
-Demi-elfe...
-Pareil, c'est aussi chiant... On n'a qu'à l'assommer...
-Attends un peu... qu'est-ce que tu sais faire ?
-Euh... je suis serveuse et je sais brasser la bière.
-Ok, on te prend.
http://miss-wuasy.cowblog.fr/images/ayu.jpg

Vendredi 18 mai 2012 à 17:00

http://miss-wuasy.cowblog.fr/images/tempete.jpgPierre de Marbeuf (1596-1645)

Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.

Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.

Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.






Même des siècles après, malgré le temps et l'usure des topos, malgré des thèmes battus et rebattus par une littérature toujours en quête de nouveauté, certains poèmes demeurent.

Inexplicablement.

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